Episode 38: La danse

Dans cet épisode, je te partage mon histoire avec la danse — de mes premiers pas jusqu’à mon parcours pour devenir danseuse professionnelle. Je te raconte les hauts, les bas, ma blessure, et comment tout cela a façonné ma vision de la danse aujourd’hui.

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Salut à tous et bienvenue dans un nouvel épisode de je parle français, ton podcast 100% en français pour les élèves intermédiaires. Je suis Léa, ton animatrice et je suis ravie de continuer à t'accompagner dans ce voyage passionnant. De temps en temps, des invités surprises viendront enrichir nos conversations avec leur expérience. Je continuerai à parler à un rythme légèrement plus lent pour que tu puisses suivre sans stress et profiter pleinement de chaque épisode. N'oublie pas que tu peux toujours retrouver les transcriptions de cet épisode sur mon site web jeparlefrançais.com.

Et n'oublie pas non plus que je propose des cours de 30 minutes, des cours d'essai en tête à tête avec moi. C'est une occasion idéale pour que tu me poses tes questions, que tu pratiques ton parler et peut-être que nous commencions une belle aventure d'amitié en français ensemble. Alors installe-toi confortablement, prends ta boisson préférée et laisse-toi porter par cet épisode plein de découvertes. C'est parti. Alors dans cet épisode, j'ai décidé de vous parler d'une chose, d'une activité très importante pour moi dans ma vie et qui fait partie de ma vie maintenant depuis des années.

Cette activité c'est la danse. Donc j'ai commencé la danse quand j'avais environ 4 ans ou 4 ans et demi, ma mère a décidé de m'inscrire avec ma meilleure amie de l'époque à un cours de danse classique. Donc en France en général le mercredi après-midi et le samedi ce sont les moments où nous faisons des activités extrascolaires à l'extérieur de l'école obligatoire et en général nous allons dans des clubs privés pour pratiquer un sport extrascolaire. Donc pour moi c'était la danse classique et ça a été le coup de foudre au premier cours. Je me souviens exactement de la sensation que j'ai ressentie pendant ce premier cours de danse classique.

Oui oui, c'est vrai, je m'en souviens vraiment très très bien. Donc comme je disais, je suis allée dans ce cours de danse classique dans une école privée une petite école privée dans le sud de la France dans la ville où j'habitais. La professeur de classique Dominique était incroyable et je pense que c'est grâce à cette femme que mon goût pour la danse s'est développé. Elle était incroyable, elle était de la vieille école, c'est-à-dire qu'elle était assez stricte, mais avec un amour de partager cette technique et son amour de la danse à ses élèves et je l'ai tout de suite senti et à partir de ce jour-là, je n'ai jamais plus arrêté de danser. Donc j'ai commencé à pratiquer la danse classique tous les mercredis après-midi, ma mère m'emmenait avec ma meilleure amie, avec mes meilleurs amis en fait, nous étions 3, nous étions un petit trio et elle nous emmenait au cours de danse classique.

Après 4 ans, j'ai décidé de m'inscrire dans la même école à des cours de danse jazz que j'adorais aussi. C'était un univers totalement différent avec un professeur très différent, et j’y passais toute la journée. Donc à cette époque-là, je ne savais pas qu’on pouvait travailler avec la danse. Je ne savais pas que on pouvait gagner sa vie plus ou moins, on en parlera plus tard, mais je ne savais pas que la danse pouvait être un métier. Et puis quand j'ai eu 16 ans à l'école, on nous demandait de faire un stage en entreprise, donc on devait choisir une entreprise qui nous intéressait dans un domaine qui nous intéressait et passer une semaine entière dans cette entreprise à apprendre le métier.

Et je n'avais absolument aucune idée de ce que je voulais faire et quand je me demandais quelle est la chose qui t'intéresse, la seule chose qui me venait en tête était la danse. Donc j'ai demandé si je pouvais faire mon stage en entreprise dans mon école de danse. Et c'était la meilleure semaine de ma vie, non pas de ma vie j'exagère, mais c'était une semaine incroyable parce que j'ai passé une semaine entière accompagnée de mes 2 professeurs à passer la journée entière à faire des cours de danse et j'étais tellement heureuse, épanouie et à ce moment-là je me suis dit ok je sais, je veux être danseuse. Donc j'en ai beaucoup parlé à mes parents et au début ils n'étaient pas vraiment d'accord. Ils m'ont dit si tu veux faire un métier artistique, choisis autre chose, choisis un métier manuel comme tapissier d'ameublement c'est-à-dire les personnes qui font les canapés ou les sièges ou choisi de faire des bijoux ou choisi quelque chose de plus manuel, artistique, mais manuel.

Donc je me souviens, mon père m'a amené un jour à Paris. Moi, je n'étais jamais allée à Paris. J'avais donc peut-être dix-sept ans et mon père m'a amené à Paris pour visiter une école très très connue à Paris qui s'appelle l'école Boule donc c'est la plus grande école à Paris des métiers d'art et du design. C'est une école incroyable, magnifique. Et donc je suis allée visiter cette école pour parler aux professeurs, voir les métiers qu'il y avait à l'intérieur de cette école que je pouvais potentiellement apprendre et ils m'ont vite ramené sur terre parce que ils prenaient vraiment que des personnes qui avaient un bulletin scolaire et des notes scolaires au-dessus de dix-huit donc en France on compte sur 20 donc dix-huit sur 20 sur l'année c'est un résultat très très grand.

C'est vraiment incroyable d'avoir dix-huit de moyenne à l'année. La moyenne des étudiants ont environ entre 12 et 14, ça c'est la normale. Donc dix-huit, c'est vraiment les élèves très très très très doués et très disciplinés et très intelligents. Je pense que j'étais assez intelligente, mais je n'arrivais pas à dix-huit, ça c'est sûr. Donc ils m'ont dit que ce n'était pas vraiment possible.

Et en fait, en visitant cette école, je me suis rendu compte que c'était super. Ce sont des métiers magnifiques, mais ce n'est pas ce que je veux. Ce n'était pas ce qui me faisait vibrer comme la danse. Donc mes parents m'ont ensuite autorisé à passer une audition de danse à Toulouse dans une école privée et ils sont venus tous les 2 me voir et j'ai été prise à l'audition et je pense que mes parents se sont rendus compte que j'étais douée et donc ils m'ont laissé faire ce que je voulais et j'ai eu la chance d'avoir ces parents-là qui m'ont laissé faire ce dont j'avais envie. Donc après le bac à mes dix-huit ans, je suis partie vivre à Toulouse chez ma grand-mère qui habite à Toulouse, donc j'étais en colocation avec ma grand-mère, c'était super cool et tous les jours j'allais dans cette école.

Dans cette école, j'avais des cours de danse classique tous les jours, de danse contemporaine et de danse jazz et nous avions aussi des cours d'anatomie, d'histoire de la danse et d'histoire de la musique. C'était une aventure incroyable. Pendant un an, j'étais vraiment très très disciplinée. Les professeurs m'avaient même donné les clés de l'école et j'étais chargée d'ouvrir l'école tous les matins parce que j'étais souvent la première arrivée. Donc j'arrivais en général une heure avant le début des cours et j'avais le temps de profiter du studio, de m'étirer, de danser comme je voulais et de préparer mes examens.

Cette formation était dédiée à passer un examen d'aptitude technique dans la danse pour plus tard devenir professeur. Donc grâce à cette année, j'ai passé mon examen d'aptitude yechnique au conservatoire national de Marseille que j'ai eu donc j'ai eu mon diplôme en danse contemporaine et en danse jazz, les 2 disciplines que j'avais passées et après ça j'avais plusieurs options je pouvais continuer cet examen pour officiellement devenir professeur de danse mais moi je n'avais pas envie de devenir professeur de danse j'avais seulement dix-huit ans et je voulais rentrer dans une compagnie et être danseuse. Donc j'ai passé une audition à Paris pour une école de jazz qui était jumelée, c'est-à-dire en correspondance avec l'école de Alvin Ailey à New York très très connue dans la danse jazz, je pense que vous connaissez. L'audition était incroyable, des danseurs magnifiques, des studios magnifiques en plein coeur de Paris, c'était incroyable. J'ai passé une super audition et j'ai aussi passé une audition à Barcelone parce que moi je voulais absolument vivre en Espagne donc ce n'était pas vraiment pour l'école j'avoue que je j'ai décidé de passer cette audition c'était pour le fait d'être dans une grande ville en Espagne et donc j'ai passé cette audition et j'ai été prise dans les 2 à Paris et à Barcelone.

Et en pesant le pour et le contre, j'ai vite pris ma décision de partir à Barcelone. Donc je suis rentrée dans une deuxième formation professionnelle en danse contemporaine à Barcelone. Donc nous avions des cours de danse contemporaine, des cours de classique, des cours de théâtre, des cours de techniques de sol, beaucoup de techniques différentes que nous n'avons pas en France. J'ai commencé à faire du hip hop aussi et j'avoue cette année-là était très différente de mon année à Toulouse. À Toulouse, j'étais très disciplinée, je ne sortais jamais jamais jamais le week-end, je restais à la maison où j'allais à la bibliothèque pour louer des livres et des CD sur la danse.

Je me couchais très tôt, je me levais très tôt, en un an, je ne suis jamais sorti en boîte de nuit, je n'avais pas d'amis en dehors de l'école de danse, très très concentrée sur la danse. Alors que à Barcelone, c'était totalement autre chose parce que c'est une culture différente et tous mes amis de l'école de danse étaient de Barcelone et évidemment je voulais m'intégrer, apprendre la langue, me faire des amis et je suis totalement tombée amoureuse de cette ville et donc en étant en Barcelone, c'est aussi une ville où on sort plus, où le rythme de vie est différent, on mange plus tard, on sort plus, on dort plus tard, les cours commençaient beaucoup plus tard qu'en France. Donc j'ai complètement changé aussi, je commençais à être plus âgé, à vouloir sortir, à vouloir rencontrer des garçons, à vouloir faire la fête, à juste profiter d'avoir dix-neuf, 20 ans. Donc voilà, j'ai fait cette école et après cette école, je ne savais pas trop quoi faire, mais je voulais absolument rester à Barcelone. Donc j'ai décidé de devenir danseuse freelance et mes parents me donnaient un peu d'argent de poche chaque mois et avec cet argent, je m'organisais mes propres emplois du temps pour la semaine.

Donc je décidais dans quelles écoles je voulais aller prendre mes cours et quelle technique je voulais apprendre et j'organisais mon emploi du temps de cette manière. Donc j'allais dans une école le matin pour faire un cours de danse classique, ensuite je prenais mon vélo, j'allais dans une autre école pour faire un cours de contemporain ensuite etc... Donc j'étais très très libre et à ce moment-là je me suis aussi rendu compte que ok comme ça j'allais pas vraiment survivre parce que l'argent que me donnaient mes parents était beaucoup mais pas suffisant pour faire autant de cours et ne pas travailler à côté donc petit à petit j'ai dû décider de commencer à travailler. Travailler dans la danse c'est très difficile donc j'ai commencé à travailler dans un call-center pour une entreprise française et avec l'argent que j'ai gagné j'ai décidé de partir un mois faire une formation de danse et humanitaire en Guinée Conakry c'est un pays de l'Afrique de l’ouest pour apprendre la danse traditionnelle. C'était génial, j'ai d'ailleurs un épisode sur mon aventure en Guinée Conakry si tu veux l'écouter.

Ok, après tout ça, j'ai décidé de revenir en France, j'ai travaillé quelque temps comme chorégraphe dans un resort français très connu qui s'appelle le Club Med. C'était une aventure très intéressante, mais pas pour moi. Et après ça, j'ai donc décidé de repartir en formation professionnelle avec l'argent que j'avais gagné dans cet hôtel et je suis parti à Chypre dans le nord de l’île, la partie turque. Donc Chypre est une île, la moitié est grecque, la moitié est turque. Et sur cette île, il y avait un grand campus américain avec beaucoup de pôles différents, une section pour les sciences, une section pour la technologie et il y avait une section pour l'art avec musique et danse.

Donc j'étais inscrite dans cette école. Ça a été une aventure très difficile pour moi, je trouvais que l'école n'était vraiment pas du tout organisée, c'était très cher et à Chypre dans le nord de l'île il n'y a absolument rien donc il n'y a pas de théâtre, il n'y a vraiment rien en termes de culture d'art donc je trouvais que c'était très insuffisant et vu comment était gérée l'école il y a eu pas mal de problèmes avec mon dossier etc… j'ai donc décidé de partir et après ça j'ai commencé à me poser la question de: ‘qu'est-ce que je fais de ma vie avec la danse?’ parce que j'avais vraiment la sensation que oui je voyageais j'allais dans des écoles etc mais à quel moment tu commences à travailler avec la danse j'avais cette sensation que c'était perpétuellement de l'apprentissage et beaucoup d'argent, c'est toujours très très cher et donc quand je suis arrivée à Lisbonne pendant le covid, je me suis donné une opportunité et j'ai décidé de passer une audition avec un chorégraphe portugais que j'aime beaucoup et j'avais pris ma décision que si il me prenait je continuais, s'il ne me prenait pas, j'arrêtais et je faisais autre chose.

Et malgré une audition très très bien, j'ai reçu un email en me disant que j'avais été très bien, qu'ils avaient beaucoup hésité, mais que malheureusement je n'étais pas prise. Ça, c'est l'email typique que tous les danseurs reçoivent toute leur vie en fait. Donc j'ai décidé d'arrêter et j'ai passé un an ou un an et demi à Lisbonne à ne pas du tout vouloir être en contact avec la danse. J'ai arrêté de m'entraîner, je faisais d'autres activités sportives, mais j'ai arrêté de prendre des cours de danse, j'ai arrêté d'aller voir des spectacles, j'ai arrêté d'être entourée de danseurs, je me suis entourée d'autres personnes, de monde totalement différent, totalement inconnu pour moi et pour moi c'était un non retour à la danse. Mais la passion et l'amour que j'ai pour la danse devaient revenir un jour ou l'autre Et voilà, après 3 ans à vivre à Lisbonne, j'ai commencé à ressentir ce besoin de retourner dans ce monde professionnel.

Et donc, j'ai décidé de choisir une ville où la danse était plus présente que Lisbonne, une ville beaucoup plus tournée vers l'art et donc j'ai décidé de partir vivre à Berlin en Allemagne. Berlin étant un endroit très très artistique en Europe avec Londres, avec Paris, avec Amsterdam, ça fait partie des villes les plus populaires pour les artistes et les danseurs. Donc voila je suis partie a Berlin et j’ai décidé de retenter ma chance. Je prenais beaucoup de cours, j’allais dans les compagnies, demander des informations, etc… Je me suis vraiment rendu compte que quand j'étais jeune, on ne nous a pas appris que oui, ce monde-là, ça marche totalement par contact parce que les auditions en général c'est bien pour entrer dans des écoles de danse mais pour entrer dans des compagnies je pense, à mon avis que en général c’est un peu corrompue dans le sens ou en général les chorégraphes ont déjà les danseurs, ils savent déjà qui ils vont prendre et ils ont besoin de faire une audition pour avoir les subventions de l'état pour avoir les bourses de création et je me suis vraiment rendu compte en étant en contact avec de très très grandes compagnies à Berlin que oui la majorité des danseurs qui sont dans les compagnies aujourd'hui ont été recommandés par d'autres professionnels et c'est comme ça que ça marche.

Donc j'ai tenté ma chance, ça marchait plutôt bien, mais en étant prof de français aussi à côté, c'était un peu difficile de jongler entre les 2 parce que je n'avais pas la journée entière pour m'entraîner, donc évidemment ça limite un peu et aussi c'est très difficile en général de trouver du travail, de trouver des opportunités. La majorité des danseurs professionnels galèrent beaucoup et commence à donner des cours de danse par dépit pour travailler et pour gagner sa vie. Et puis ensuite malheureusement un jour, pendant une performance vous le savez sûrement je me suis blessé au genou et donc ça a totalement annulé mes projets, je commençais à avoir quelques projets et j'ai dû malheureusement tout annuler et en ayant cet accident, en ayant cette blessure, je me suis aussi rendu compte à quel point le monde de la danse était quand même très précaire et avec très peu de support parce que je pense que ça aurait été très très difficile pour moi avec cette blessure si je n'avais pas eu un travail à côté parce que la chirurgie était très chère évidemment vous savez ce que c'est même avec une très bonne assurance et je pense quelqu'un qui ne gagne pas beaucoup d'argent comment il fait pour se payer une chirurgie. Sachant évidemment qu'en étant danseur, ton corps est ton outil de travail, donc tu es un peu, pas obligé de faire une chirurgie, mais c'est fortement conseillé si tu veux continuer à danser professionnellement.

Donc, je me suis aussi beaucoup posé la question: ‘quel style de vie tu veux?’

C'est vrai que le monde de la danse, c'est un milieu magnifique, mais c'est aussi un milieu avec beaucoup de mauvaises choses, beaucoup de personnes très ingrates et de discriminations, beaucoup d'abus, beaucoup de choses pas très jolies en général, d'autorité. C'est comme si les danseurs étaient vus comme des enfants un peu. On a l'habitude d'écouter, d'obéir, de faire ce qu'on nous demande et donc j'ai aussi décidé de créer un podcast il y a 2 ans à propos de ça, à propos des finances et des abus dans la danse. Donc si tu veux l'écouter, il est en anglais, ça s'appelle ‘Hidden Face of Dance’ et j'interroge des danseurs, des artistes sur le milieu de la danse, sur les conditions de travail. Donc voilà aujourd'hui je ne danse plus vraiment car je suis toujours en réhabilitation mais est-ce que j'ai envie de continuer à essayer d'être danseuse professionnelle je pense qu'aujourd'hui je commence à avoir cette réponse qui me dit que je ne veux pas mettre de côté mes besoins parce que je pense que beaucoup de personnes choisissent la danse par amour évidemment mais le fait de tellement vouloir gagner sa vie avec je pense que souvent ça tue ton rêve et j'ai envie de choses qui requièrent beaucoup d'argent, j'ai envie de voyager, j'ai envie de prendre soin de moi, j'ai envie de bien manger, d'avoir un bon appartement, pouvoir acheter à mes proches ce dont ils ont besoin sans avoir vraiment à penser comment je vais faire.

Et c'est un peu comme ça je pense dans le milieu de la danse et dans certains milieux artistiques c'est très précaire. Donc je sais que je danserai toujours, je sais que je ferai toujours des projets de danse, mais aujourd'hui je pense que je deviens de plus en plus sereine sur le fait que danser et être professionnel en danse n'est pas nécessairement gagner sa vie, gagner son argent grâce à la danse.

Voilà c'est tout pour cet épisode de je parle français sur le thème de la danse. J'espère que tu as passé un bon moment et que tu as appris plein de choses intéressantes sur la danse. N'oublie pas de consulter les transcriptions sur jeparlefrançais.com et bien sûr de revenir pour le prochain épisode.

Si tu veux réserver ton cours gratuit de 30 minutes avec moi, tu peux aller sur mon site web jeparlefrançais.com et réserver le jour et l'heure que tu souhaites. À très bientôt et merci de ton écoute.

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